Tasmanie, le 21 septembre 2006

Un goût du bout du monde


Comment ne pas succomber aux charmes infinis de cette île ? Amoureux de la nature et des espaces vierges, nous rêvions de ce petit « bout du monde ». À notre arrivée depuis Melbourne en ferry nous avons découvert des paysages enveloppés par la brume du matin, mais très vite l’île s’est dévoilée à nous telle une explosion de couleurs et de contrastes.

Jaune : Couleur des milliers de jonquilles, mimosa et grès sauvages recouvrant l’île. Les oiseaux gazouillent, le soleil brille, le printemps est resplendissant.
Rouge : Couleur des fantastiques levers et couchers de soleil auxquels nous avons assisté.
Blanc : Couleur du sable des plages immaculées de l’Est, des neiges éternelles du sommet de la majestueuse montagne Cradle.
Vert : Couleur des douces collines parsemées de moutons et de vaches, tel un air de campagne anglaise, où conduire sur les routes sinueuses qui la traverse devient un vrai plaisir. Couleur des forêts d’algues géantes que nous avons explorées en plongée sous-marine.
Bleu : Couleur cristalline des rouleaux sur lesquels Guillaume n’a pas pu s’empêché de surfer, malgré la température de l’eau à 11°C.
Noir : Couleur du souvenir impérissable des pénitenciers de Port Arthur. Pénombre des grottes de Mole Creek.

Trait d’union entre la mer et la montagne, les villes décontractées et conservatrices sont à elles-mêmes des palettes d’artistes. Réputée pour sa gastronomie, ses édifices géorgiens, ses docks, son marché en plein air, Hobart offre une gamme infinie de teintes. Lauceston n’est pas en reste avec son magnifique cadre naturel.

Vous l’aurez compris, nous sommes tombés sous le charme de ce condensé de nature. Un conseil, n’allez pas à Melbourne sans envisager de fouler les terres de Tasmanie !

Charlotte & Guillaume




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